Aller au contenu
Accueil » Augmentation des Cas de Transidentité en Lien avec le Glyphosate 

Augmentation des Cas de Transidentité en Lien avec le Glyphosate 

Augmentation des Cas de Transidentité en Lien avec le Glyphosate 
Rate this post

Augmentation des cas de transidentité en lien avec le glyphosate 

Critiques des Assertions de Royal par une Épidémiologiste

Emmanuelle Amar, l’épidémiologiste citée par Ségolène Royal, a exprimé son désarroi face aux déclarations de l’ex-ministre, soulignant une «beaucoup de confusions dans les propos» lors d’une conversation sur BFM TV. Royal, en soutien à une initiative législative visant à interdire la transition de genre chez les mineurs proposée par des sénateurs du parti Les Républicains, a attribué l’augmentation des interrogations de genre chez les jeunes Français à leur exposition au glyphosate et aux perturbateurs endocriniens. Elle soutient que ces substances perturbent le cycle hormonal, présentant un lien «très direct» et affirmant que cela est «prouvé». Cette déclaration a suivi celle d’Olivier Vial, qui critiquait la «dysphorie de genre», mentionnant une hausse significative de plus de 2000 % sans préciser à quelles statistiques il se référait.

Le Débat Sur les Augmentations des Demandes de Transition chez les Jeunes

Le débat entourant l’augmentation des cas de questionnement de genre chez les jeunes Français demeure non résolu, selon Ségolène Royal. Il n’y a pas de statistiques officielles concernant le nombre de demandes de transition de genre parmi les mineurs en France. Néanmoins, plusieurs indicateurs semblent montrer une augmentation, bien que les cas restent rares. Les raisons de cette augmentation sont encore sous enquête, sans consensus clair entre l’influence des réseaux sociaux et une acceptation croissante de diverses identités de genre.

Clarifications et Recherches sur les Perturbateurs Endocriniens

En réponse aux interrogations sur le fondement de ses affirmations, Royal a indiqué que ses déclarations étaient basées sur des «hypothèses de recherche». Ces recherches examinent l’impact des perturbateurs endocriniens sur divers problèmes de santé, sans lien direct établi avec la transidentité. Emmanuelle Amar a également précisé que, bien que le Remera étudie les malformations congénitales, il ne se focalise pas sur les questions transgenres, celles-ci n’étant pas considérées comme des malformations.

Controverses et Discussions Continues

La classification du glyphosate comme perturbateur endocrinien reste un sujet de débat intense parmi les scientifiques. Bien que des recherches suggèrent des effets néfastes liés à la perturbation endocrinienne, l’ampleur de ces effets et leur incidence directe sur la santé humaine restent à définir clairement. L’EFSA et d’autres organismes continuent d’examiner les preuves, conduisant à des opinions divergentes sur la sécurité et les effets de ces substances.

Excuses de Ségolène Royal

Dans un récent commentaire, Ségolène Royal s’est excusée pour la confusion causée par ses commentaires initiaux, clarifiant qu’elle n’a jamais soutenu les théories médicalisées de l’identité de genre, qu’elle rejette fermement.

https://queervibesmag.com/

Soutenez-nous encore plus.